Urgence mobilisation générale ce vendredi 12/02 à 18h30 : Vernissage au MAMAC de Nice : exposition cochons tatoués
A partir du 13 février 2010, le Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain (MAMAC) de Nice ouvre ses portes sur une exposition gore, malsaine et en violation des droits des animaux, grâce à l’approbation générale : de la Mairie de Nice et du conservateur du Musée.
L’affiche promotionnelle réalisée et placardée a semblé exhiber avec mauvais goût un simple montage sordide réalisé par des logiciels bien connus de retouches d’image. Il n'en est rien !
Les cochons tatoués sont bel et bien de vrais animaux vivants séquestrés et exploités par un homme dérangé qui s’est adonné au tatouage sur leur peau. Son argument : la friction entre l’art et la vie. Mais qu’est-ce que l’Art ? Des ribambelles d’étudiants, de chercheurs et d’artistes se confrontent depuis des lustres pour donner une définition à ce mode d’expression sans jamais pouvoir en fournir une généralement satisfaisante. Quant à la vie, il apparaît clairement que l'artiste lui préfère la mort quoiqu’il en dise.
Ici, le seul argument qui vaille concerne les animaux considérés comme de vulgaires supports à recevoir des aiguilles injectées d’encre pour s’incruster à jamais dans leur chair. L’alibi d’anesthésier l’animal avant le marquage ne tient pas, quiconque s’est déjà fait tatouer sait que cela n’est pas totalement indolore et que des picotements peuvent aisément se faire ressentir pendant plusieurs jours après le tatouage. Les cochons pris en otage n’ont pas choisi de se faire tatouer. Ce sont des animaux hypersensibles, sujet aux arrêts cardiaques par le stress.
- Ils n’ont pas choisi d’être exhibés devant des humains avides de gore ou des ignorants du respect du vivant.
- Ils n’ont pas choisi d’être engraissés pour atteindre le poids (200 kg) qui les conduira directement à être saignés.
- Ils n’ont pas choisi de se faire découper la peau pour se retrouver empoussiérés dans un tableau sur un mur.
- Ils n’ont pas choisi de se faire empailler.
La démarche malsaine de Wim Delvoye, le concepteur de cet outrage à la vie est de proposer son art du tatouage en maltraitant des animaux, avant de les condamner à mort pour exhiber leur dépouille segmentée.
Le cochon n’est ni un morceau de viande, ni une toile. C’est un animal social, intelligent et surtout ayant les mêmes capacités que l’homme à souffrir. Est-ce justement cela qui a motivé Wim Deloye dans ses actes ?
Il est donc du devoir des amoureux des animaux et surtout de ses défendeurs et des associations qui s’en réclament publiquement, d’agir contre cette mascarade sordide. Nous ne voulons pas d’une telle ignominie dans notre cité !
Fédérons-nous pour faire entendre notre voix le vendredi 12 février, le vernissage se fera à 18h30 en présence de l’auteur de cette aberration. L’exposition démarre le lendemain le 13 février.
Afin d’être rassemblés autour d’un combat unitaire, un appel est fait aux associations et personnes de la protection animale pour organiser une action.
http://www.productionmyarts.com/arts-et-images/art-qui-choque/cochons-tatoues-fr.htm
[url=http://www.chine-informations.com/video/chine-des-cochons-tatoues_439.html[/url]
faites passer le message et surtout soyez nombreux vendredi 12 février devant le MAMAC avant le début du vernissage....
contact : cristel 0666868096 et mail : cristel.r@voila.fr et lapnpresse@yahoo.fr
A partir du 13 février 2010, le Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain (MAMAC) de Nice ouvre ses portes sur une exposition gore, malsaine et en violation des droits des animaux, grâce à l’approbation générale : de la Mairie de Nice et du conservateur du Musée.
L’affiche promotionnelle réalisée et placardée a semblé exhiber avec mauvais goût un simple montage sordide réalisé par des logiciels bien connus de retouches d’image. Il n'en est rien !
Les cochons tatoués sont bel et bien de vrais animaux vivants séquestrés et exploités par un homme dérangé qui s’est adonné au tatouage sur leur peau. Son argument : la friction entre l’art et la vie. Mais qu’est-ce que l’Art ? Des ribambelles d’étudiants, de chercheurs et d’artistes se confrontent depuis des lustres pour donner une définition à ce mode d’expression sans jamais pouvoir en fournir une généralement satisfaisante. Quant à la vie, il apparaît clairement que l'artiste lui préfère la mort quoiqu’il en dise.
Ici, le seul argument qui vaille concerne les animaux considérés comme de vulgaires supports à recevoir des aiguilles injectées d’encre pour s’incruster à jamais dans leur chair. L’alibi d’anesthésier l’animal avant le marquage ne tient pas, quiconque s’est déjà fait tatouer sait que cela n’est pas totalement indolore et que des picotements peuvent aisément se faire ressentir pendant plusieurs jours après le tatouage. Les cochons pris en otage n’ont pas choisi de se faire tatouer. Ce sont des animaux hypersensibles, sujet aux arrêts cardiaques par le stress.
- Ils n’ont pas choisi d’être exhibés devant des humains avides de gore ou des ignorants du respect du vivant.
- Ils n’ont pas choisi d’être engraissés pour atteindre le poids (200 kg) qui les conduira directement à être saignés.
- Ils n’ont pas choisi de se faire découper la peau pour se retrouver empoussiérés dans un tableau sur un mur.
- Ils n’ont pas choisi de se faire empailler.
La démarche malsaine de Wim Delvoye, le concepteur de cet outrage à la vie est de proposer son art du tatouage en maltraitant des animaux, avant de les condamner à mort pour exhiber leur dépouille segmentée.
Le cochon n’est ni un morceau de viande, ni une toile. C’est un animal social, intelligent et surtout ayant les mêmes capacités que l’homme à souffrir. Est-ce justement cela qui a motivé Wim Deloye dans ses actes ?
Il est donc du devoir des amoureux des animaux et surtout de ses défendeurs et des associations qui s’en réclament publiquement, d’agir contre cette mascarade sordide. Nous ne voulons pas d’une telle ignominie dans notre cité !
Fédérons-nous pour faire entendre notre voix le vendredi 12 février, le vernissage se fera à 18h30 en présence de l’auteur de cette aberration. L’exposition démarre le lendemain le 13 février.
Afin d’être rassemblés autour d’un combat unitaire, un appel est fait aux associations et personnes de la protection animale pour organiser une action.
http://www.productionmyarts.com/arts-et-images/art-qui-choque/cochons-tatoues-fr.htm
[url=http://www.chine-informations.com/video/chine-des-cochons-tatoues_439.html[/url]
faites passer le message et surtout soyez nombreux vendredi 12 février devant le MAMAC avant le début du vernissage....
contact : cristel 0666868096 et mail : cristel.r@voila.fr et lapnpresse@yahoo.fr